Prof. Dr. Sükrü Halûk Akalın
Le chef de l’Institut de la langue Turque
La Langue turque qui est parlée actuellement par près de 200 millions de locuteurs est la plus grande branche de la famille des langues altaïques qui regroupe les langues telles que mogol, mandchu-toungouse.
Vers la fin du 19 ème siècle avec les apports des recherches poussées, l’idée qui défendait que les langues altaïques regroupant les langues turquiques, mongols, mandchou-toungouse, japonais, ncoréen et les langues finois, hongrois et samoyèdes reconnues comme des langues finnois-ugor appartenaient à la famille des langues du groupe ouralo-altaïque était considerée comme une théorie accepté par tous. Pourtant les recherches linguistiques effectuées à partir de la deuxième moitié du 20 ème siècle ont montré au fur at à mesure que les langues ouralo-altaïques ne pourraient pas former une famille. Bien qu’il existe des ressemblances entre les langues finois, hongrois et samoyèdes et les langues turquiques, mongols, mandchoutoungouse, japonais, coréen celles-ci ne contenaient pas un élément commun héritièr d’une langue source qui serait susceptible de former une famille de langues.
De nos jours partout dans le monde, les linguistes reconnaissent bien la famille des langues altaïques incluant les langues turquiques, mongols, mandchou-toungouse. Toutefois l’appartenance des langues coréens et japonais à cette famille est sujette à des discussions. En effet, même si on considère que celles-ci y font partie, le turc restera toujours comme la langue la plus importante en terme de locuteurs.
Bref apperçu sur l’historie de la langue turque
L’histoire de la langue écrite turque puise sa source aux inscriptions de l’Orkhon de la vallée de l’Orkhon en Mongolie qui datent des VII et VII ème siècles. La langue dévéloppée et courante utilisée dans ces inscriptions et les informations se trouvant dans les documents révélent que l’origine de la langue écrite turque remonte bien aux temps les plus réculés de l’histoire. D’autre bnpart le déchiffrement des inscriptions récentes nous montrent que l’histoire de la langue écriteb nturque date des temps les plus anciens
D’autre part grâce aux études comparées portant sur la phonologie et la morphologie et aux mots empruntés d’autres langues on a enregistré les données importantes pour révéler l’âge de langue turque. Les 168 mots d’origines turcs identifiés passés en sumérien a permis à dévélopper l’idée que le sumérien et le turc ont le même âge.
On reconnaît que le texte turc le plus ancien est le manuscrit de deux lignes ressamblant aux lettres des inscriptions de l’Orkhon qui est gravé dans un pot dans les découvertes du cairn d’Issik.
Dans les annales chinois deux vers d’une élégie hunnique et quelques mots nous donnent une idée sur le turc du quatrième siècle après Jésus- Christ; cependant les premiers textes littéraires importants sont les inscriptions de Gokturk érigés au nom de Tonyukuk (725), Bilghe Kaghan (731) et Köl Tegin (732).
Le Divanü Lugati’t-Türk qui est le premier dictionnaire et livre de grammaire de la langue turque est écrit en 1072 par Mahmoud de Kacghar. L’oeuvre qui inclue 9 milles mots n’est pas seulement un simple livre de grammaire et un dictionnaire; il est en même temps une oeuvren monumentale, un receuil, qui étudie l’écriture, et les dialectes de la langue turque tout en fournissant des informations sur les valeurs culturels.
Mahmoud de Kachgar a rédigé son oeuvre intitulé Divanü Lugati’t-Türk, Dictionnaire des dialectes turques en regroupant le patrimoine lexicale des Oguz, Kiptchaks, Kirgiz, Ouïghours, Karakhanides et des autres éthnies. Le fait que Mahmoud de Kachgar a regroupé plus d’ une vingtaine de parlers et de langues écrites sous le nom de turc a révélé une réalité scientifique. De nos jours, ces parlers et langues écrites qui incluent les éléments communs du langage sont devenus au fil du temps les langues écrites et officielles poursuivant leur propre dévéloppement interne.
La Géographie de la langue turque
La langue turque qui est la branche la plus grande de la famille des langues altaïques est la langue la plus courante. Elle est parlée dans une géographie de 12millions de kilomètres carrés à partir de l’Océan Arctique au nord de l’Inde, à l’intérieur de la République Populaire de Chine jusqu’au point le plus réculé de l’Europe
Au XIX ème siècle Á. H. Vámbéry, le célébre turcoloque avait remarqué cette répartition remarquable de la langue turque pendant ses voyages et avait précisé que celui qui voyagerait des Balkans jusqu’à Manchuria se débrouillerait facilement s’il connaît la langue turque car, le turc y est la langue la plus utilisée. A l’heure actuelle cette zone s’est élargie d’avantage. Surtout à partir des années 60 à la suite de l’émigration des turcs vers les pays industrialisés de l’Europe pour travailler, étudier et pour des motifs divers, la langue turque s’est diffusée des Balkans jusqu’aux rives de l’Océan Atlantique.
La langue Turque se divise en vingt branches de langues écrites qui sont pratiquées comme des langues parlées ou écrites dans les pays dont la densité se trouve en Asie Centrale et au Moyen Orient tels que la République de Turquie, les Républiques Turques indépendantes de l’ex-URSS comme l’Azerbaïdjan, le Turkménistan, l’Ouzbékistan, le Kazakhstan, le Kirgizstan, les pays balkaniques, la Fédération de Russie, l’Iran, l’Irak, l’Afganistan et la République Populaire de Chine.
Ces grandes communautés turques comme l’Empire Otoman du Moyen Age, du Nouvel Age et l’Etat de l’Armée d’Or qui s’étendent sur ces vastes zones ont dévéloppé jusqu’au premier trimestre du 20 ème siècle une forte littérature écrite et une littérature folklorique grâce aux langues écrites classiques, au caractère unificateur du turc otoman et du tchaitay. Les proverbes, mots, expressions et les notions préliminaires qui constituent une grande partie du patrimoine lexical sont communs aux langues de ces communautés.
En dépit des différences dans les parlers et dans les dialectes, ce caractère commun et unificateur de la langue turque présente une similitude à l’arabe, au chinois et à l’indien qui ont des dialectes écrits variés et des parlers divers.
Parmi ces langues il existe une seule langue malgré les parlers divers qui sont dévéloppés comme des sous-langues. Quant au turc, celui-ci se divise en langues écrites multipliées artificielement en fonction des conjectures politiques spécifiques de l’Union Soviétique. Ces langues écrites sont telles que le turc de turquie de l’azerbaïdjan de turkmène, d’ouzbek de kazakh, de kirghize de tatar de bachkir, de l’ouïghour, de gagaouze, de karakalpak, de koumik, de karachaï, de balkar, de nogaï, de hakas, d’altay, de tuva, de tchouvache et de yakoute.
D’autre part, on dénombre à peu près 6 millions de turcs dont la grande majorité est de nationalité turque qui habitent dans les pays de l’Union Européens. Il existe également une population turque importante dans quelques pays européens qui ne sont pas membres de l’Union Européenne. Une bonne partie de cette population est devenue le citoyen du pays habité. En outre un bon nombre de turcs vivent en Roumanie, nouveau membre de l’Union Européenne, et en particulier en Bulgarie en tant que citoyens. En prenant en compte les turcs qui vivent dans les pays comme Makedonie et Kosova on estime que la population turque du continent Européen dépasserait 7 millions. La langue de la totalité de cette population en Europe est le turc de turquie. Dans ces pays le média et ainsi que les journaux et magazines publiés par les turques utilisent la langue turque.
Le turc est devenu une langue vivante, dynamique, et parlée dans le quatre coins du monde grâce à ses locuteurs qui viennent vivre dans des périodes diverses surtout en Amérique, en Austarlie, dans les pays du continent Nord-américain, les pays du sud, de l’Afrique Noir et dans la péninsule arabique. Par l’intermédaire des émissions de radio et de télé diffusées par satellite, de l’internet, de journeaux turcs, des magasins publiés à l’étranger des cours et des institutions de l’enseignement, le turc est reconnu actuellement une langue qui fonctionne efficacement.
Si on prend en compte la carte politique actuelle, on reconnaît bien que les turcomanes gouvernés différemments mais vivants dans les pays frontaliers et parlant des langues apparantées ont dans une large mesure des similitudes culturelles. Un chant folklorique chanté en Anatolie est connu et chanté également dans les Balkans, au Moyen-Orient, en Caucase et même en Asie Centrale. “Mantı” qui est le plat bien populaire de la cuisine turque représente des particularités communes même si son nom et sa dimension varient de la Sibérie en Chine, de l’Asie Centrale en Anatolie. Le renommé de Nasrettin Hoca et ses anectodes sont connus parmi les turcomanes aussi bien que parmi les pays voisins se trouvant dans la même géographie. Mais la similitude la plus frappante parmi les locuteurs turcs se manifeste au niveau du vocabulaire et des particularités morphologiques.
Selon les résultats des études académiques de turcologie menées indépendamment dans plusieurs pays, ces langues écrites turques contiennent des mots phonologiquement équivalents suivant les données lexicales classées en fonction des critères de lexicographie. Grâce au lexique de base qui ne contient aucun emprunt des langues étrangères, les communautées turques peuvent se communiquer en utilisant leur propre langue sans recourir aux autres moyens de communication.
Les nombres, pronoms et verbes sont communs à toutes ces langues écrites et aux dialectes. Dans une géographie qui s’étend des rives de l’Océan Atlantique jusqu’à l’intérieur de Chine, 220 millons de personnes utilisent presque les mêmes nombres pour compter sauf quelques changements de phonémes dans certaines nombres. Ils comptent ainsi: bir (un), iki (deux),üç (trois), dört/tört (quatre), beş, (cinq) altı,(six), yedi/yeddi/ceti (sept), sekiz (huit), dokuz/tokuz (neuf). Ces différences phonologiques entre les dialectes sont les différences générales et elles se manifestent chaque fois dans les autres mots.
Nous citons ci-dessous quelques exemples concernant le lexique des divers domaines et des conceptes
Les mots de l’Environnement et de la Nature:
Les mots de l’Environnement et de la Nature:
En turc. toprak; en azéri torpag; en turcmène toprak; en tatar tufrak; en kazakh toprak; en ouïghour toprak; en ouzbek tuprak; en kirghiz topurak.
En turc dağ; en azéri dağ; en bachkir tav; en tatar tav; en kazakh tav; en kirghiz too; en ouzbek tağ; en turcmène dağ; en ouïghour tağ.
En turc ağaç; en azéri agac; en turcmène agaç; en tatar agaç; en kazakh agaş; en ouïghour yagas; en khakasse agas.
En turc çiçek; en bachkir sesek; en kazakh şeşek; en kirghiz çeçek; en ouzbek çeçek; en tatar çeçek; en ouïghour çeçek.
En turc diken; en azéri tiken; en kazakh tiken; en kirghiz tiken; en ouzbek tiken; en turcmène tiken; en ouïghour tiken.
En turc yaprak; en azéri yarpag; en bachkir yaprak; en tatar yafrak; en kazakh japırak; en ouzbek yeprak; en turcmène yaprak.
Les Couleurs
En turc ak; en azéri ağ; en tatar ak; en bachkir ak; en kazakh ak; en kirghiz ak; en ouzbek åk; en turcmène āk; en ouïghour ak.
En turc kara; en azéri gara; en bachkir kara; en tatar kara; en turcmène gara; en kazakh kara; en kirghiz kara; en ouïghour kara.
En turc sarı; en azéri sarı; en bachkir harı; en tatar sarı; en kazakh sarı; en kirghiz sarı; en ouzbek sarık; en turcmène sārı; en ouïghour serik.
En turc kızıl; en azéri gızıl; en bachkir kızıl; en tatar kızıl; en kirghiz kızıl; en ouzbek kızıl; en turcmène gızıl; en ouïghour kızıl.
En turc boz; en azéri boz; en bachkir buz; en kazakh boz; en kirghiz boz; en ouzbek boz; en turcmène boz; en ouïghour boz
Les Animaux
En turc at; en azéri at; en bachkir at; en tatar at; en kazakh at; en kirghiz at; en ouzbek at; en turcmène at; en ouïghour at
En turc kuyruk; en azéri guyruk; en bachkir koyorok; en kazakh kuyruk; en kirghiz kuyruk; en ouzbek kuyruk; en tatar koyrık; en turcmène guyruk; en ouïghour kuyruk.
En turc aslan; en azéri aslan; en bachkir arıslan; en kazakh arıstan; en kirghiz arstan; en ouzbek erslan; en tatar arıslan; en turcmène arslan; en ouïghour arslan.
En turc koyun; en azéri goyun; en bachkir kuyın; en kazakh koy; en kirghiz koy; en ouzbek koy; en turcmène goyun; en ouïghour koy.
En turc kuş; en azéri guş; en bachkir koş; en kazakh kus; en kirghiz kuş; en ouzbek kuş; en turcmène guş; en ouïghour kuş.
En turc kurt; en azéri gurd; en bachkir kort; en kazakh kurt; en kirghiz kurt; en ouzbek kurt; en tatar kort; en turmène gurt; en ouïghour kurt.
En turc turna; en azéri durna; en bachkir torna; en kazakh tırna; en kirghiz turna; en ouzbek turne; en tatar torna; en turcmène durna; en ouïghour turna.
En turc balık; en azéri balıg; en bachkir balık; en kazakh balık; en kirghiz balık; en ouzbek balık; en turcmène balık; en ouïghour belik.
Les Mines
En turc demir; en azéri demir; en bachkir timir; en tatar timir; en kazakh temir; en kirghiz temir; en ouzbek temir; en turcmène demir; en ouïghour tömür.
En turc altın; en azéri altun; en bachkir altın; en tatar altın; en kazakh altın; en kirghiz altın; en ouzbek altin; en turcmène altın; en ouïghour altun.
En turc gümüş; en azéri gümüş; en bachkir kömöş; en tatar kömiş; en kazakh kümis; en kirghiz kümüş; en ouzbek kümüş; en turcmène kümüş; en ouïghour kümüş.
En turc taş; en azéri daş; en bachkir taş; en tatar taş; en kazakh tas; en kirghiz taş; en ouzbek taş; en turcmène daş; en ouïghour taş.
Le Corps Humain
En turc baş; en azéri baş; en bachkir baş; en tatar baş; en kazakh bas; en kirghiz baş; en ouzbek baş; en turcmène baş; en ouïghour baş.
En turc dil; en azéri dil; en bachkir til; en tatar til; en kazakh til; en kirghiz til; en ouzbek til; en turcmène dil; en ouïghour til.
En turc diş; en azéri diş; en bachkir tiş; en tatar tiş; en kazakh tis; en kirghiz tiş; en ouzbek tiş; en turcmène diş; en ouïghour tiş.
En turc ayak; en azéri ayak; en bachkir ayak; en tatar ayak; en kazakh ayak; en kirghiz ayak; en ouzbek ayak; en turcmène ayak; en ouïghour ayak.
En turc kol; en azéri gol; en bachkir kul; en tatar kul; en kazakh kol; en kirghiz kol; en ouzbek kol; en turcmène gol; en ouïghour kol.
En turc göz; en azéri göz; en bachkir küz; en tatar küz; en kazakh köz; en kirghiz köz; en ouzbek köz; en turcmène göz; en ouïghour köz.
En turc kulak; en azéri gulag; en bachkir kolak; en tatar kolak; en kazakh kulak; en kirghiz kulak; en ouzbek kulak; en turcmène gulak; en ouïghour kulak.
A part ces exemples on sait bien que les verbes sont dans une large mesures sont communs aux dialectes turcs. En prenant en compte ces exemples on remarque que les mots de la langue écrite turque se distinguent les uns des autres d’un changement d’un seul phonème; pourtant même si ces branches de la langue turque sont utilisées comme les langues écrites dans les pays dont les frontières sont indépendantes, elles ne peuvent pas être reconnues comme des langues indépendantes des uns aux autres.
La syntaxe de ces langues présente les mêmes caractéristiques structurelles. Le complément du nom vient avant le nom complété. La disposition des éléments dans une phrase est telle que: Sujet + Compléments + Verbe. A part un petit nombre de dialectes comme le turc gagaouze et karay, la syntaxe est similaire aux tous les dialectes turcs.
Le classement des langues en fonction des locuteurs natifs et la langue turque
Le classement des langues se fait en prenant en compte quelques critères comme le nombre du locuteurs de langue maternelle (la première langue apprise), de langue seconde et langue étrangère. On esime que l’anglais a près de 2 milliards de locuteurs selon ces critères-ci.
Dans la classification faite en fonction du nombre de locuteurs natifs, la Chine vient en tête malgré ses dialectes différents. Le chinois se place au premier rang avec les huit dialectes qui se distiguent des uns aux autres par les caractéristiques morphologiques, phonologiques et lexicales et avec ses plusieurs dialectes. Selon cette classification l’indien et l’urdu sont reconnus comme une seule langue, L’indien est la quatrième langue en fonction du nombre de locuteurs. En prenant en compte cette classification la langue turque doit être reconnue comme une seule langue avec ses
220 millions de locuteurs. Du point de vue de ces critères le turc qui compte un nombre important de locuteurs à l’échelle du monde se place au cinquième rang.
Chinois | 1.300.000.000 | Avec ses huit dialectes |
Anglais | 427.000.000 | |
Espagnol | 266.000.000 | |
Indien | 260.000.000 | Avec tous ses dialectes y comris l’urdu |
Turc | 220.000.000 | Avec tous ses dialectes |
Arabe | 181.000.000 | Avec tous ses dialectes |
Portugais | 165.000.000 | |
Bengalî | 162.000.000 | |
Russe | 158.000.000 | |
Japonais | 124.000.000 | |
Allemand | 121.000.000 | |
Français | 116.000.000 |
L’enseignement de la langue turque dans le monde
En plus des locuteurs natifs, la langue turque contient des locuteurs parlant la première, seconde ou la langue étrangère. En particulier, on a remarqué que le turc de turquie est parlée dans plusieurs pays. Selon les données des éthnologues, outre la République de Turquie on dénombre 34 pays où l’on parle. A coté du nombre de locuteurs, par suite des événements historiques récents comme la dissolution de l’URSS, la Guerre du Golf, le turc a commencé à occupper une place de plus en plus importante ainsi la Turquie est devenue un pôle d’attraction. Ces dévéloppements ont encouragé l’enseignement de la langue turque par la création de nouveaux départements dans les universités, de nouveaux institututions et par les cours organisés dans les institutions privés.
En fonction de la densité de la population et de la demande, on dénombre 87 pays où on enseigne la langue turque au moins dans une institution secondaire. Ces pays sont comme suit: Les Etats Unis, L’Afghanistan, L’Allemagne, L’Angola, L’Argentine, L’Albanie, L’Australie, L’Autriche, L’Azerbaïdjan, Le Bangladesh, Le Belgique, Le Bénin, La Bosnie- Hérzegovine, Le Brésil, La Bulgarie, Le Burkina Faso, La Birmanie, Le Tchad, La République Tchèque, Le Danemark, La Guinée équatoriale, L’Indonésie, L’Ethiophie, Le Maroc, La République de Côte d’Ivoire, La République des Philippines, La France, Le Gabon, Le Ghana, La Guinée, L’Afrique du Sud, La Corée du Sud, La Géorgie, L’Inde, Les Pays-Bas, L’Iraq, L’Angleterre, Le Japon, Le Cambodge, Le Cameroun, Le Canada, Le Kazakhstan, Le Kenya, Le Kirghizistan, République Démocratique du Congo, Le Kosovo, Le Laos, La Lettonie, Le Libéria, La Lituanie, La Hongrie, La République de Madagascar, La Macédoine, Le Malawi, Les Maldives, La Malaisie, Le Mali, Le Mexique, La République de Mongolie, La Moldavie, La Mauritanie, Le Mozambique, Le Népal, Le Niger, Le Nigéria, La République Centrafricaine, Le Pakistan, La Papouasie-Nouvelle-Guinée, La Pologne, La Roumanie, La Russie, Le Sénégal, La Serbie, Le Sri Lanka, Le Soudan, L’Arabie Saoudite, Le Tadjikistan, La Tanzanie, La Thailande, Taiwan, Le Togo, Le Turkménistan, L’Ouganda, L’Ukraine, La Jordanie, Le ViêtNam, Le Yémen.
Dans certains pays en plus de l’enseignement du turc dans les institutions secondaires, on dénombre 46 pays où celui-ci est enseigné dans les institutions privés en fonction de la demande. Ces pays sont tels que Les Etats Unis, L’Allemagne, Le Belgique, La Biélorussie, La Bosnie- Hérzegovine, La Bulgarie, L’Algerie, La Chine, Le Danemark, L’Estonie, La Finlande, La France, La Géorgie, Les Pays- Bas, L’Iraq, L’Angleterre, L’Irlande, L’Espagne, La Suède,La Suisse, L’Italie, L’Islande, Le Japon, Le Kirghizistan, La Colombie, La Lettonie, La Lituanie, Le Liban, Le Luxembourg, La Macédoine, Malte, Le Mexique, L’égypte, La République de Mongolie, La Norvège, Le Pérou, Le Portugal, La Russie, Singapour, La Slovaquie, La Slovénie, Le Chili, Le Turkménistan, Le Viêt Nam, La Grèce.
Dans neuf pays tels que L’Albanie, L’Azerbaïdjan, La Bosnie- Hérzegovine, La Géorgie, L’Iraq, Le Kazakhstan, Le Kirghizistan, La Roumanie, Le Turkménistan l’enseignement se fait en turc.
Dans les universités de 28 pays où on enseigne le turc il existe des départements de turcologie où on fait des recherches de la langue et de la littérature turque. Ces pays sont tels que: L’Allemagne, L’Australie, L’Azerbaïdjan, La Biélorussie, La Bosnie- Hérzegovine, La Bulgarie, L’Indonésie, La République de Côte d’Ivoire, La Géorgie, L’Iraq, L’Iran, La Suède, Le Japon, Le Cameroun, Le Kazakhstan, Le Kirghizistan, La Colombie, Le Kosovo, La Lituanie, La Hongrie, L’égypte, La Moldavie, La Roumanie, La Russie, Le Turkménistan, L’Ukraine, Le Venezuela, Le Yémen.
Conclusion
A l’heure actuelle la langue turque avec 220 millions de locuteurs dans une zone de 12 mètres carrés est enseignée dans près de 100 pays. Le turc dont les origines remontent aux temps les plus anciens de l’histoire est reconnue comme une langue du monde incluant plus de 600 mille mots. Tout au long de l’histoire, le turc de turquie, une des branches de la langue turque, était en intéraction avec des autres langues comme le chinois, le persan, l’arabe et le hongrois. Ainsi il existe plus de 11 mille mots passés du turc de turquie aux langues du monde et 20 mille mots qui sont passés du turc aux autres langues. Dans plusieurs domaines en particulier dans les domaines culinaires, vestimantaires et militaires il existe plusieurs mots d’origines turc. D’autre part au cours de l’histoire, et dans les géographies habitées par les turcomanes actuellement, les noms des lieux ont d’origines turc également.
Pour conculure on peut dire que la langue turque qui est enseignée presque dans toutes les régions du monde et qui est un sujet d’étude des recherches scientifiques est l’une des langues la plus répandue et enracinée parmi les langues tout en contribuant aux langues du monde.